New York diaries, Jour 4 : glisser en douceur

(Cet article fait partie d’une série de 9 articles, pour la suivre chronologiquement depuis le début, cliquez ici)

Le petit de l’Homme a déjà tenté pas mal de choses du haut de ses 9 ans (le parapente, l’hélicoptère,…) mais il était une chose qu’il n’avait jamais encore jamais essayé et qu’il rêvait de faire : du patin à glace.
Pourtant me direz-vous, du patin à glace, on peut en faire (presque) partout et surtout à Bruxelles. Clairement. Et il aurait même dû en faire à Bruxelles avec sa meute de louveteaux. Mais il venait d’être opéré au moment où ils ont prévu cette activité et le médecin lui avait formellement interdit d’y participer. Pour le consoler, je lui avais promis d’en faire plus tard, quand on serait à New York, sur la patinoire du Rockefeller Center. J’avais moi-même un souvenir assez magique de cette patinoire… datant de l’époque où tenir sur des patins à glaces me paraissait encore évident (ça doit bien dater d’il y a plus de 15 ans, là).

Ca fait un bail que j'ai plus eu ce genre de machins aux pieds...
Ca fait un bail que j’ai plus eu ce genre de machins aux pieds…

Et donc voilà, arrivés à New York, le petit de l’Homme m’a rappelé ma promesse. Il y tenait. Stress : la patinoire n’existe qu’une partie de l’année (au printemps-été, elle se transforme en terrasse) donc là, fallait vérifier qu’elle était encore bel et bien là. Bol, c’était le cas (elle vient de fermer). Ce qui ne me donnait donc plus d’excuses, ahum.

Et c’est là que l’effet madeleine a pris en plein… Voir le petit donner la main à son père dans ce joli endroit, les regarder évoluer, les prendre en photos, c’était juste un moment de pur bonheur, un sentiment d’être vraiment en vacances…
Si vous passez par New York en hiver, tentez l’aventure (même si l’entrée et la location des patins n’est pas donnée)… Tentez-la même en soirée, c’est encore plus magique !

Le petit et son père
Le petit et son père

Le reste de la journée s’est passée à faire plaisir au petit de l’Homme : visite du FAO Schwarz (incontournable pour lui), achat de ses nouvelles baskets au magasin New Balance (son père en a profité aussi, pour finir les mecs sont revenus avec presque plus de paires de pompes que moi, hein)…

Et repas du soir au Stardust. Endroit que je conseille aussi si vous aimez les diners  comme dans les films et les comédies musicales : les serveurs font le show !

Tomber du rideau avec un petit de l’Homme qui s’endormait dans le métro.

Ce  fut juste une journée toute douce, toute fluide… comme glisser sur une couche de glace translucide…

((Pour la suite, rendez-vous sur New York Diaries, Jour 5)

RFC

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