… où l’énergie vous fuit
… où tous les livres vous tombent des mains
… où votre cerveau s’emballe
… où l’inspiration vous fait défaut
… où les autres font mieux que vous
… où les autres disent mieux que vous
… où la vie coule sans aucune prise
… où le sommeil est insaisissable
… où vous culpabilisez car vous n’avez même pas faim, même pas froid
… et où tout refuge est inexistant
Ces jours-là, vous faites quoi ?
« J’espère le lendemain… »
Un bon bain, la BO de « Into the Wild » et l’attente du lendemain semble bien moins longue…
Merci Thibaud… 😉
Avec plaisir 🙂
« Où tout refuge est inexistant » ?
C’est possible, ça ?
Moi j’aime croire qu’il existe toujours un refuge : quand on n’est pas dans le « tu » (à chercher des poux à l’autre), pas dans le « je » (à se regarder le nombril), pas dans le passé (à ressasser), pas dans le futur (à craindre). Quand on est dans l’instant, sans aucun de ces soucis-là, n’est-on pas dans une forme de refuge ?
Bises.
Roald, effectivement ! Dans ce cas-là, si.
Mais il est difficile de toujours exclure tous les paramètres que tu exclus… Et puis, ils vous rattrapent à un moment ou à un autre, parfois aussi !
Je reste chez moi au fond de mon lit et j’attends que ça passe… pr me rassurer et ne pas encore plus déprimer, je me dis que les petits moments comme ça, c’est un peu normal, la fatigue du corps et de l’esprit…
Effectivement, Yam, et en plus, si on n’avait pas ces moments-là, on ne profiterait plus vraiment des autres moments… (ce que je dis est bateauuuuu, mais c’est vrai, quoi)