Demain, c’est le 8 mars. Journée Internationale de la Femme.
D’habitude, en ce grand jour, je me fends d’un petit texte. Enfin, presque d’habitude. Car la cause des femmes, ça me désespère qu’on en fasse tout un foin qu’un jour. Et après, pouf, plus rien. Du coup, ça me démotive.
Mais cette année, j’ai pris la chose sous un autre angle.
Puisque ça me désole qu’on en cause qu’un seul jour (notez, c’est pas mon cas, j’en cause plus souvent que ça, mais on en cause qu’une seul jour dans les média, quoi), j’ai décidé que la Journée de la Femme, moi, j’allais célébrer ça trois jours.
Ouais.
Donc, un premier article cet après-midi (vers 15h00, stay tuned…).
Un demain matin.
Et un vendredi matin.
Il n’est dit nulle part que je dois suivre la masse et causer de la femme qu’une journée, purée !
Et en plus, je ne vais pas forcément en parler comme d’une petite chose fragile, voire d’une sangsue à utilité réduite.
Alors, voilà, rendez-vous ici même à 15h00 !
(et allez-y, oui, « les femmes, bordel » comme titre, ça fait désordre quand on veut causer de la liberté de la femme… Mais bon, justement, c’est parlant…)
3 jours c’est bien… pour commencer !
l’an prochain ce sera la semaine, puis le mois,
le trimestre, le semestre
pour finir par arriver à l’année entière…
mais alors il faudra alors penser à laisser
une journée pour l’Homme…
et tout recommencera ! ^^
…en attendant d’arriver un jour à l’égalité entre les sexes
même si prendre les mesures n’est pas aussi simple qu’on le dit !
Une journée nécessaire au vu des inégalités, voire injustices et violences, existantes et en même temps un rappel désagréable de la condition de minorité. Double peine.