Bon, pour commencer, va falloir aller faire un tour du côté de chez Cousin Baudouin et lire (très) attentivement son billet « Projet B.S.: 7 choses qu’il n’est pas » et… vous dire que c’est pas clair, cette histoire.
Donc voilà ma partie pour vous aider à mieux comprendre (chuis gentille comme fille, ça, tout le monde le sait déjà, hein !).
7 choses que le projet B.S. EST !
– une vraie plongée dans la schizophrénie, le dédoublement de personnalité, la douce folie de se voir double… (et pas de voir double, comprenons-nous, ici on plane sans alcool, ni substance illicite, me faites pas dire ce que j’ai pas dit, bande de sauvages)
– une rencontre de deux personnes, enfin de 4 (cf point 1), qui ont des petits délires communs, plein. Et des gros aussi. Et que, donc, quand on rassemble tout cela, ça fait un peu le bus 71, le jeudi à 16h00, y’a foule et on manque parfois d’oxygène.
– une réelle utilisation des réseaux sociaux, enfin il leur a été trouvé une utilité qui tend vers le magnifique ! (et on remarquera mon grand talent qui me fait associer les mots « réseaux sociaux » et « magnifique » dans la même phrase, c’est énorme quand même)
– une virée dans un tribunal, le Palais de Justice ne va pas s’en remettre (prévue pour dans 66h45, tous aux abris).
– un virée chez Filigranes (ça, c’est fait, mais j’avoue, c’était la partie la plus simple, j’admets, pas besoin de projet B.S. pour aller chez Filigranes… donc ce point-ci, c’est un peu de la triche).
– un truc qui, à défaut d’aider à passer l’hiver, va joliment aider à passer l’été ! Yeah ! (en gros, comprendre, avant l’automne, ça va pas forcément être plus clair)
– et… last but not least… une profonde remise en question sur les relations entre les êtres… Je sens intimement que cela va peut-être pouvoir m’embarquer bien loin… Ou comment transformer un projet en thérapie personnelle (va falloir essayer de pas virer là-dedans d’ailleurs…)
Haaaaa, chuis sûre que ça vous paraît déjà plus clair ! Non ?
Non ?
Bon ben relisez, alors, ça viendra !
PS: avis aux amis proches dans la confidence, non, non, non, pas question d’hurler en commentaire que vous, vous savez ce que c’est, que même que…, qu’en plus, bien sûr…, que vous êtes d’accord avec… Mais si vous voulez en rajouter une couche en conservant le mystère, allez-y !