New York Diaries, jour 8 : sous la plage, les hipsters

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Ou que je sois, dès qu’il y a moyen de trouver une plage, la mer, du vent, j’y cours.
Quel que soit le temps.
Et même et surtout, quand le temps n’est pas au beau fixe.
Je préfère les plages vides, avec un vent froid et une bruine, que les plages bondées de corps avachis qui cherchent à tout prix à parfaire une couleur caramel douteuse.

Ca tombe bien, New York a des plages.
Et ça tombe bien bis, je n’y ai jamais été qu’en hiver ou au printemps. Lire la suite