(Cet article fait partie de la série « Calendrier de l’Avent », pour retrouver les explications et l’article du Jour 1, c’est par ici)
Il y a plus de 5 ans (très précisément le 18 mars 2011), je débarquais sur Instagram.
A l’époque, on était 3 pelés, 2 tondus et l’ambiance était plutôt (très) bon enfant. Et très anglophone (les profils francophones se comptaient sur les doigts de la main). Pouvoir documenter sa vie rien qu’en photo avait quelque chose de gentil, doux, tranquille. Pas de polémique, pas de concours, pas d’attaque. Pas de grand discours, ni de grand débat. Reposant. De quoi accrocher au concept immédiatement.
Et j’ai accroché.
Les gens qui y ont suivi mon profil, ont suivi mes voyages, mes sorties, mes délires.
Dans des photos pas toujours hyper léchées, mais néanmoins, merci les filtres, jolies malgré mon manque évident de talent photographique.
Mon but n’était pas de faire carrière dans la photo, mais de faire partager les petits moments de bonheur de ma vie, leurs délires, et parfois leur magie, aussi.
Et ça me convenait très bien comme ça.
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