C’est bon que tu sois là…

Parfois le monde dans lequel je vis me fait peur.

Parfois les gens m’effraient.

Parfois les écrits m’effarent, les paroles me heurtent, les actes me blessent et les silences me pèsent.

Dans ces moments-là je me demande où est la paix. Où est l’amour. Où est le calme.

Où est la vérité.

Lire la suite

Des envies, des envies, des envies…

(ce texte est dédié à une amie qui, par sa force, son authenticité et son envie d’aller de l’avant, m’a donné envie d’écrire tout ce que vous lirez ci-après… Merci à elle)

Il pleut dehors. Il grêle même. Temps tout pourri qui vous déglinguerait un moral des plus accrochés. On doit sûrement payer pour les quelques heures de soleil qu’on a eues il y a 15 jours. Ou alors pour un autre truc plus grave. Même très grave. Vu qu’il fait carrément immonde.

Et pourtant…

Me demandez pas…

Je sais pas pourquoi…

Non, sérieux, je n’ai aucune explication qui tienne un tantinet la route. Pas l’ombre d’un chouïa d’une.

Mais voilà :

le temps dégueu, moi, JE M’EN FOUS !

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Z’avez bien lu, je m’en tape, je m’en cogne, je m’en fiche, je m’en branle ! Lire la suite

Sale temps pour les bisounours

On parle plus, on éructe. Et quand on va bien, on gémit.

Quand on est en forme, on commet des phrases drôles, mordantes, sarcastiques, cyniques, remplies de références auxquelles personne comprend rien.

On est au dessus de la mêlée.

Dans un monde où faut surtout pas montrer qu’on pourrait être au milieu, dedans, avec, entre, parmi.

Merde, c’est dégueulasse d’être parmi les autres, d’être comme eux. Frayer avec le commun des mortels, ça avilit.

Alors on critique, on abat.

Et on étale notre misanthropie, notre misogynie, notre misandrie, bref, notre misère, en grand. En très grand.

On est mieux qu’eux. On aime personne. Ou alors des choisis, des élus, des vrais. Des comme nous.

Mais on clame abhorrer faire partie d’un monde, être enfermé dans des clichés. Lire la suite