Sonic a 20 ans, moi plus…

L’été arrive… Ouais… Quand même, ça traîne un peu, là…

Ou alors, c’est moi qui ai une folle envie de prendre l’air et qui trouve le temps (vraiment trop) long…

(surtout ce week-end vu que le petit de l’Homme a décidé de faire un truc pas commun : une rechute de varicelle. Cool. Comme dirait le doc quand je l’ai eu au téléphone, lui expliquant que je soupçonnais des boutons de varicelle « ça, ce n’est pas possible » et, ensuite, voyant lesdits boutons de ses yeux propres « C’est la varicelle bien sûr ! » sans se démonter le moins du monde, mais en rajoutant d’un air entendu « c’est très rare, très, très rare, mais ça arrive ». Merci docteur.) Lire la suite

Back from Deauville

Je reviens de là:

Hôtel du Golf

Et, pour être honnête, je pense que c’est mon endroit préféré-du-monde-de-la-Terre-de-l’Univers.Ok, c’est un grand hôtel. On peut même oser le mot palace. Et z’allez me dire que je jouerais vachement ma pétasse si j’osais dire que, pfiouuuu, moi, les palaces, hein, j’aime pas, c’est tellement surfait…

Ok, de fait, les palaces, j’aime. Chacun son truc, hein. Y’en a qui adorent les fringues de marques totalement hypes, d’autres, les bijoux méga chers, ben moi, j’aime les beaux endroits.

Ceci dit, si je devais m’en passer, je le ferais. C’est pas le but de ma vie non plus. Mais ça rajoute un petit plus. Un très joli petit plus.

Et là, cet hôtel à Deauville a incontestablement un vrai petit plus. Des gens charmants (z’allez me dire « hé, Marie, pour le prix, y peuvent, les gars !  » et je vais vous répondre illico : « ben non, voyez, du haut de ma graaaaaande connaissance des hôtels où-on-paye-le-prix, je vous jure qu’il y en a où les gens sont tout sauf charmants. Obséquieux, bien élevés, polis, certes, mais charmants, c’est plus rare !  » donc là, voilà, quoi), l’endroit beau sans luxe tapageur, la campagne avoisinante reposante et une vue sur la baie de Deauville au loin à couper le souffle.

Tout beau. Je suis restée une demi-heure à la fenêtre de ma chambre, cette nuit. Enroulée dans ma sortie de bain, à méditer sur l’année à venir et ses challenges. Ma pièce (ok, j’avoue: je dors mal quand j’y pense…). Mon boulot (réunion au sommet le 3 janvier). Mon couple (2008, année de tous les dangers ? ). Mais dans un endroit pareil, on se sent forcément serein. Donc je me suis promis de repenser à cette nuit de décembre dès que je devrai faire face à un moment plus difficile cette année. De respirer profondément. De faire le vide. Et de ne plus avoir peur.

On verra si ça marche…

En attendant, là, je refais ma valise et je file demain au Luxembourg chez la femme de ma vie. Pour y vivre les dernières heures de 2007.
Mais là, hop, hop, je prends mon Mac sous le bras. Comme ça, je pourrai souhaiter une bonne année 2008 en live !

😉