Faire des enfants est souvent source de grands moments de solitude…
Il y a quelques temps, avec le Flair (magazine féminin, si, si), on recevait un petit canard noir vibrant. Tout mimi. Tout sympa. Mais, franchement, j’en ai jamais vraiment bien compris le fonctionnement (c’est un sex-toy, ok, mais où, comment, par quel bout ? Si l’un de vous peut m’éclairer, chuis preneuse car l’objet me laisse assez perplexe).
Du coup, j’ai jamais utilisé la bête qui est restée tout ce temps perchée sur une armoire ou sur la radio.
Et, hier, j’ai été prise d’une frénésie de nettoyage et de triage de ma salle de bain. Résultat, j’ai tout enlevé, le petit canard aussi. Et tout déposé sur le plan entre l’évier et la baignoire.
Quelques minutes plus tard, le petit de l’Homme grimpait dans son bain. Moi, je continuais à ranger tout en étant près de lui. Perdue dans mes pensées…
Et tout d’un coup, j’entends:
« Héééééé ! Catastrophe !!! Mais il est cassé, ton canard !!! Regarde !!! Quand on l’allume, il n’avance pas, il coule !!!! »
Et, là, me retournant, j’ai pu effectivement observer que tout sex toy, plongé dans un liquide, coule à pic en vibrant de toutes ses forces…
Suis passée par toutes les couleurs, me suis étranglée pour pas éclater de rire. Et j’ai répondu au schtroumpf, d’un calme olympien:
« Effectivement, ce canard a l’air d’avoir un soucis… Tu sais quoi ? On va le remettre dans l’armoire puisqu’il ne fonctionne pas ! »
Et le monstre de répliquer « on peut peut-être demander à papa de le réparer ? »
Ok, j’ai un canard qui ne flotte, ni n’avance à donner, qui n’en veut ???