(Avis de service : le titre de cet article est éhontément piqué à une chanson de Philippe Lafontaine que je chantais à tue-tête à 17 ans, pour l’écouter rendez-vous en bas de l’article)
Le temps est lourd, l’orage gronde…
De fait, me direz-vous, il ne fait pas beau (sur la Belgique, du moins, si vous habitez ailleurs, je ne veux pas savoir !), mais je ne parle pas de la météo, là, je parle de mon entourage…
Que ce soit dans mon entourage proche comme lointain, la vie est aux nuages et aux coups de tonnerre…
On ne choisit pas toujours son chemin, on y est parfois traîné, entraîné, catapulté, à son corps défendant. Comme un bouchon sur une mer déchaînée. Sans avoir la possibilité de décider soi-même de l’endroit où on veut aller, sans avoir le droit de poser armes et valises pour souffler un peu.
Non, dans ces moments-là, on a juste le droit de parer les coups. Et encore, pas de manière toujours très efficace. Donc on boit la tasse. On relève la tête. Et on reboit la tasse.
Respire…