(C’est la première fois que j’écris un texte un peu avant la nuit veille de mon anniversaire, mais je n’ai pas le choix, l’Homme m’ayant dit « prends une brosse à dent, on part », j’ai dû prendre les devants et ça fait bizarre.)
(Bon, ok, il n’a pas vraiment dit « prends une brosse à dent » mais plutôt « prépare ta valise pour vendredi soir et samedi, on part ».)
(Du coup, je pense que je vais aussi prendre un dentifrice, on ne sait jamais.)
Voilà, on y est, la limite fatidique des 50 piges est arrivée.
J’ai longtemps hésité sur le titre de ce texte, et vous trouverez peut-être que le titre élu est un peu trop sobre pour un tel événement.
Laissez-moi alors vous donner quelques exemples auxquels vous avez échappés : « 50 ans, la vie devant » (devant quoi ? On sait pas, mais ça rime), « 50 ans, dans les dents » (no comment), « 50 ans, et maintenant ? » (mon côté optimiste), « 50 ans, et pan ! » (ça rime toujours, nan ?).
J’ai finalement opté pour la sobriété rimée, et on remarquera, au passage, que, même si je travaille dans la com, j’ai bien fait de ne pas travailler dans la pub, les médias ou la communication politique, je connais mes limites. Lire la suite